Le 12 juillet, à l’Hippodrome Snai San Siro, l’atmosphère à Milan est électrisante. Pas moins de 70 000 personnes se sont rassemblées pour assister à l’une des affiches phares de cette édition, marquant une première pour le festival et le pays : Stray Kids se produisent enfin sur les terres transalpines, cette fois-ci pour leur musique.
L’énergie est palpable avant même leur entrée en scène. Quelque chose de magique est indéniablement sur le point de se produire, avant de se reproduire outre-Manche, 48 heures plus tard.


L’I-Days, un Festival Foncièrement Rock
Également connu sous le nom de Independence Days, cet événement annuel de musique estivale se déroule à Milan, en Italie. Créé en 1999 à Bologne, il gagne rapidement en popularité et se déplace à Milan en 2009 et 2018, avec des éditions à Monza en 2016 et 2017. Le festival s’érige en référence absolue dans le pays grâce à sa programmation éclectique, mêlant artistes établis et émergents, et accueillant des légendes telles que Blink 182, Green Day, et Linkin Park. Chaque année, il attire des dizaines de milliers de participants, devenant un rendez-vous incontournable pour les amateurs de musique rock, mais aussi pop.

Cette année, Stray Kids marquent l’histoire en devenant le premier groupe de K-pop à être tête d’affiche. De quoi donner la “chair de poule”, selon Felix, qui confiera à Londres, en coulisses, être impressionné par le nombre de personnes présentes à chacun de leurs récents spectacles et par la portée de leur musique.
“Honnêtement, je ne suis pas du tout surprise qu’il y ait eu 70 000 personnes. Je ne suis moi-même pas une fan de K-pop en général, mais les Stray Kids occupent une place particulière dans mon cœur. Je comprends donc parfaitement l’engouement qu’ils suscitent,”
nous confie une STAY.


“Quand les billets se sont arrachés en quelques minutes, j’ai compris que la donne avait changé. Voir autant de monde, et savoir qu’il y en avait encore plus qui n’ont pas pu venir, c’est incroyable. Nous ne sommes plus une niche, nous sommes une véritable force !”
L’Italie a parlé et est sur le point de se lever comme un seul homme ce même soir.



Festival de pop rock et SKZ : un combo toutefois plausible ? Pour Marika, STAY italienne :
“La question est plutôt de savoir si les I-DAYS étaient vraiment prêts pour le phénomène Stray Kids. Leur musique est tellement variée, au-delà de leur discographie. Ils présentent des morceaux très différents les uns des autres et sont capables de relever n’importe quel défi.”


Pour Chiara, créatrice de la fan page italienne officielle dédiée à Hwang Hyunjin, le choix s’est fait naturellement :
“Je pense que les SKZ étaient parfaits et ont apporté le genre d’innovation qui crée de nouvelles coutumes, de nouvelles cultures et de nouvelles façons de penser un festival. Les I-Days ont fait un choix judicieux en les invitant en Italie, et j’espère que ce n’était que le premier de nombreux nouveaux événements.”
Elle renchérit, soulignant le caractère résolument hétéroclite du collectif :
“Les SKZ sont un groupe à la fois très rock, très rap et tout simplement innovant, qui pour moi, ne rentrent pas dans les carcans du genre K-pop.”
Seraient-ils en train d’écrire une nouvelle page artistique ? Pour Chiara, la perspective est plus que réaliste :
“J’aime la musique qui transmet des émotions contrastées et quand je vois SKZ, je me dis qu’ils pourraient très bien devenir un nouveau genre musical à part entière.”


















Ces dimensions n’ont évidemment pas échappé aux organisateurs du festival transalpin. Le but des I-Days est ainsi clair : ajouter une dimension unique à l’événement, attirant un nouveau public, de nouveaux regards, une nouvelle vague qui se mêle à la faction d’aujourd’hui, encapsulant le public de demain.
STAY in the Rain
Ce soir-là, le spectacle commence pourtant sous une pluie battante. Cheveux dans les yeux, vêtements trempés et micros glissants, rien n’arrête Stray Kids. Leur détermination et leur énergie transcendent les conditions météorologiques, transformant la pluie en un élément dramatique qui ajoute à la magie de la soirée.




“Malgré la chaleur et le violent orage qui a suivi, l’atmosphère était électrique, pleine d’enthousiasme. Des personnes venues de toute l’Italie et de toute l’Europe avaient du mal à croire qu’elles allaient enfin voir le groupe sur scène. Tant de langues différentes, tant de cultures distinctes, tant de générations, toutes unies par la passion d’être STAY,”
nous confie Stefania.
Même sous la pluie, leur performance est incroyable. Une énergie qu’ils puisent en partie dans un public des plus impliqués et dévoués, comme nous le démontre Chiara :
“Même si le temps était défavorable, nous avons réussi à maintenir un moral élevé, avant le concert, en chantant des chansons de toute leur discographie, même lorsque le bruit de la pluie battante menaçait de noyer tous les autres sons. Nous avons terminé la journée chargés comme des cartouches. Plus tard, nous avons appris que les Stray Kids nous avaient entendus chanter sous l’averse, ce qui les a également rechargés d’une nouvelle énergie. Pendant le concert, le flux d’énergie coulait comme un torrent. Les membres se sont nourris de cette énergie, l’ont mélangée avec leurs notes musicales, leurs sourires et leur amour, et nous l’ont renvoyée encore plus puissamment. À la fin de la soirée, nous étions tellement chargés à bloc et euphoriques, si heureux et insouciants que nous aurions pu continuer ce concert pendant des jours entiers, cela n’aurait jamais été assez…”



C’était comme si la pluie faisait partie intégrante du spectacle. On le voit, on le sait, on le vit.
“Ils étaient comme un animal affamé que nous nourrissions d’amour. Plus ils en recevaient, plus ils déchaînaient d’énergie sur scène. Ils étaient électriques comme nous ne les avions jamais vus auparavant.”


Il faut dire que le groupe enchaîne une setlist quasi idéale, comprenant des hits comme “S-Class”, “Charmer”, “Super Bowl”, et “TOPLINE”. Chaque chanson est accueillie par des acclamations frénétiques, mais c’est “TOPLINE” qui marque particulièrement les esprits. Certains frémissent à chaque début de chanson, mais il n’y a pas de temps pour la rêvasserie, Stray Kids est un groupe qui va à mille à l’heure.
La setlist n’aura toutefois pas à rougir du côté de Londres, où elle se montrera littéralement stratosphérique. En effet, dès le lendemain de l’I-Days, Stray Kids sont déjà à l’aéroport de Milan Malpensa, prêts à s’envoler vers Londres pour se produire au BST Hyde Park Festival le dimanche 14.


Le BST Hyde Park Festival
Lancé en 2013, ce festival s’est rapidement imposé comme un événement musical majeur dans la capitale anglaise. Chaque été, il transforme le parc le plus emblématique de la ville en une scène vibrante où se produisent des artistes de renommée mondiale.
Le festival se distingue par sa diversité musicale, accueillant des artistes de tous horizons. Cette année, le public a pu apprécier des performances allant de la country et de la musique irlandaise avec Shania Twain et les légendaires The Corrs, à la musique lyrique avec les ténors Andrea et Matteo Bocelli. Cette diversité reflète la capacité du festival à attirer un public hétéroclite et à offrir une expérience musicale riche et loin d’être sclérosée.


Le BST Hyde Park Festival est également reconnu pour son ouverture aux genres musicaux émergents et aux artistes innovants. L’invitation de Stray Kids en est un parfait exemple, illustrant la volonté des organisateurs d’intégrer des influences musicales nouvelles et de créer une atmosphère unique et dynamique.
Dimanche, quartier de Westminster. Ce sont finalement 50 000 spectateurs qui réagissent à l’unisson à l’arrivée sur scène du groupe, en fin de soirée, cinq ans après leur dernier passage en terres britanniques. En backstage, avant leur montée sur scène, Lee Know avoue qu’à l’époque, le groupe était résolument incertain quant à leur popularité au Royaume-Uni. Une question qui ne se pose plus aujourd’hui. Toutefois, pour Hyunjin, l’important est maintenant de se montrer à la hauteur. Il explique notamment que les festivals attirent un public plus diversifié, ce qui pousse le groupe à choisir des morceaux plus dynamiques et adaptés à l’ambiance festive.


Lorsque l’on interroge Marika au sujet des mots de Hyunjin, elle ne peut qu’acquiescer, se remémorant la setlist dont elle et ses amies ont pu profiter, deux jours plus tôt, en Italie :
“Hyunjin a tout à fait raison. Lors d’un festival, on s’attend à des titres puissants, capables de nous faire vibrer et danser sans répit. Et pourtant, c’est le sublime “Lonely St.” qui m’a le plus émue, jusqu’aux larmes. Je crois que les setlists ont été conçues avec soin pour maintenir un niveau d’adrénaline constant tout au long du spectacle, nous permettant, en tant que STAY, de ressentir toute leur énergie.”



Cette approche permet à Stray Kids de se connecter également avec de nouveaux visages, tout en offrant une performance inoubliable à un public déjà averti. Une flexibilité et une humilité dans leur compréhension du public qui ne peuvent laisser personne indifférent.




Un Dynamisme Visuel à Couper le Souffle
Cette adaptation à l’esprit festif des festivals est pleinement exploitée tant en Italie qu’en Angleterre, avec des effets visuels intégrés au spectacle. Jeux de lumière, projections visuelles et effets spéciaux sont minutieusement synchronisés avec la musique, créant une atmosphère immersive qui transporte les spectateurs dans un autre monde. Les faisceaux lumineux pendant “TOPLINE” sont en parfaite synergie avec les rythmes et les mouvements des membres du groupe.


Les effets techniques ne se contentent pas de rendre le spectacle visible pour tous les spectateurs, mais créent également une expérience visuelle grandiose. Le terme “grandiose” évoque habituellement quelque chose qui frappe l’imagination par sa grandeur imposante et majestueuse. Ici, les effets visuels et les grands écrans ne se contentent pas de montrer ce qui se passe sur scène, mais amplifient chaque moment pour le rendre spectaculaire et mémorable. Les grands écrans, par exemple, projettent des images en haute définition des membres du groupe, permettant à chaque STAY de se sentir proche de la scène, même à distance.


Comme le diraient les Rossoneris de l’AC Milan ou les Blues de Chelsea, la technique fait du public un douzième homme, comme le public de San Siro et de l’Emirates. Sur le terrain de l’I-Days comme à Hyde Park, Stray Kids n’a pas 11 hommes, mais 8 (Bang Chan, Lee Know, Changbin, Hyunjin, Han, Felix, Seungmin, I.N), mais une chose est sûre : ils ont déjà trouvé leur neuvième homme.
Une Proximité Signée SKZ
La technologie assure que personne ne manque un instant de la magie qui se déroule sur scène. Pour les STAYS, ces écrans sont une fenêtre ouverte sur ce que ressent SKZ, rendant chaque concert une expérience profondément personnelle. C’est cette capacité à communiquer et à partager des moments authentiques qui rend le groupe si spécial et qui fait que leurs performances, où qu’elles aient lieu, restent gravées dans les mémoires.



Cette proximité est cruciale pour Stray Kids, qui cherchent à établir une connexion profonde avec leur public. Ils ne se contentent pas de performer ; ils partagent une partie d’eux-mêmes, de leur art, de leurs émotions.
Mais ils se nourrissent aussi des expériences d’autrui et de la vie en général, créant une synergie inspirante. Hwang Hyunjin, par exemple, avec son art pictural qui inspire autant qu’il est inspiré, illustre parfaitement cette synergie entre l’art et le concept d’expérience.


La qualité scénique de Stray Kids repose sur leur capacité à communiquer, et cela se voit dans leurs performances à l’I-Days et au BST Hyde Park Festival. Comme un avant-goût de leur nouvel opus ‘ATE’, la Dream Team délivre des performances nostalgiques, à cheval entre leur ancien groupe et ce qu’ils sont devenus, comme pour demander à leur public : “Alors, vous nous aimez toujours autant comme on est aujourd’hui ?”



De l’Événement Social au Sentiment d’Existence
Excellents en studio, le groupe excelle également sur scène. Une révolution, pour ceux qui s’en souviennent, comparée à leurs premières heures lorsque SKZ comptait encore un neuvième membre. Aujourd’hui, la scène est le canevas des membres et joue un rôle crucial dans le renforcement du sentiment de communauté parmi les spectateurs.
En créant des moments visuellement spectaculaires, des expériences communes se créent, transcendant les frontières individuelles. Ces moments de partage visuel et émotionnel contribuent à forger un sentiment d’appartenance, de Milan à Londres, indépendamment des frontières et des différences.



Les concerts de Stray Kids deviennent des événements sociaux où la scène, les effets visuels, la fumée, les flammes et les grands écrans ne se contentent pas de magnifier la performance ; ils créent des points de convergence où les émotions individuelles se rejoignent pour former une expérience collective. Cette dynamique transforme chaque concert du groupe en un moment unique, où les spectateurs se connectent non seulement avec le groupe, mais aussi entre eux. “Nous étions tous unis dans ce moment,” se souviendront-ils.




Lorsque le concert de Londres se termine, tout le monde s’empresse de partager des vidéos et des photos des prestations sur les réseaux sociaux, créant une communauté en ligne autour de l’expérience du concert. Des “OMG!”, “I can’t believe what I’ve just seen!”, le très british “Just brilliant” et des “Even better”, en comparaison avec Milan, nous entourent. Les milliers de vidéos sont repostées sur Instagram, YouTube ou encore TikTok, collectant des centaines et des milliers de commentaires de personnes du monde entier qui avaient vécu la même chose à Milan deux jours plus tôt, comme d’autres, par-delà le monde lors des tournées précédentes.




Une Dream Team en Action
Au-delà de leur musique, de “Thunderous”, “Back Door” à “Maniac” en passant par “Charmer”, Stray Kids a réussi à s’imposer progressivement en tant que titans de la scène mondiale. Selon le groupe, ils n’ont rien perdu de leur fièvre des débuts et la magie est toujours intacte. Pour I.N, le plus jeune membre, les sensations de la scène sont un mélange de nervosité et d’excitation. Il n’hésite pas à comparer ces sentiments à ceux qu’il ressentait lors de leurs débuts, mais doublés, cette fois-ci, d’une passion enivrante.


Le moindre souvenir visuel devient un ancrage émotionnel, permettant aux STAYS de se replonger dans l’ambiance du concert à tout moment. Cette reviviscence offre une forme de réconfort, rappelant les émotions positives et les connexions partagées. Une manière de ressentir à nouveau cette euphorie et cette connexion, comme si ces moments étaient éternellement gravés en chacun d’entre eux.




S’il ne s’agit pas d’une première pour Londres, l’Italie dévoilait pour la toute première fois sa scène musicale à la Dream Team. Pourtant, les liens entre le groupe et ce pays semblent en réalité presque séculaires, faisant de la soirée milanaise un moment tout simplement magique, comme l’exprime Stefania :
“Difficile de trouver les mots justes pour décrire cette journée… Disons simplement que c’était l’une des plus belles de ma vie. Entourée de deux personnes qui me sont chères, j’ai vécu des émotions que je croyais enfouies depuis longtemps. À 52 ans, je ne pensais pas revivre ces frissons adolescents. Ce soir-là, j’étais une femme comblée. Mon cœur battait la chamade, me rappelant que la musique, la vie, les émotions transcendent les âges, les cultures et les frontières. Comme ils le diraient eux-mêmes : ‘Youtifull’ ”










Un discours clairement partagé par Marika :
“Des émotions à fleur de peau, un cœur qui semblait vouloir s’envoler… J’ai ressenti une liberté et un bonheur indescriptibles.”
Il y a peu, un an, presque jour pour jour, Hwang Hyunjin devenait la figure d’une des plus grandes marques de prêt-à-porter de luxe de la Dolce Italia. Membre emblématique du groupe, il est aujourd’hui accueilli comme chez lui par Donatella Versace elle-même, en tant qu’ambassadeur international.


Cette notion de chez-soi a d’ailleurs toute son importance lorsqu’il s’agit de Stray Kids, un îlot dans un monde imparfait. Pour les STAYS, SKZ est tout simplement une sorte d’Atlantide ou de Shambhala où, malgré l’imperfection qui règne dans leur vie, les membres de la communauté font le choix de rester fidèles à leurs préférences, leurs idéaux, sans entrer en collision avec autrui, ce qu’il est bien difficile à reproduire dans le monde extérieur avec des individus qui ne partagent pas les mêmes valeurs :
“Ce soir-là, j’ai réalisé un rêve. Je me suis sentie entière, vivante, comme si je n’appartenais qu’à cet endroit. Ces huit garçons ont le pouvoir de créer un foyer, un lieu où l’on se sent immédiatement accepté. Beaucoup d’entre nous traversent des moments difficiles. C’est pourquoi, chaque fois que nous les voyons, nous avons l’impression d’être chez nous, en famille. Cette soirée aurait pu durer éternellement sans que je n’en ai assez. Ils sont comme une drogue, on veut toujours plus, on veut les voir, les regarder dans les yeux et garder ces souvenirs à jamais.”
Même constat amer, mais positif, chez Marika :
“Oui, à la fin de ce feu d’artifice, j’ai réalisé que je devais retourner à ma vie quotidienne. Et pourtant, ce souvenir restera gravé à jamais, un petit coin de paradis où les soucis et l’anxiété n’existent pas. C’est là que je me sens vraiment chez moi.”











La même émotion, presque transcendentale, envahit Stefania :
“Ils sont pour moi l’énergie pure, la jeunesse incarnée, l’allégresse à l’état brut, ma famille de cœur. Grâce à eux, j’ai surmonté une épreuve particulièrement difficile. Après leur concert, je n’ai eu qu’une seule pensée : ils sont mon étoile guide. Vivre cette expérience a été magique, unique. J’ai assisté à de nombreux concerts, mais aucun ne m’a laissé un tel vide à la fin. Je rêve encore de ces instants, comme si j’avais vécu un songe éveillé. Je me demande parfois si tout cela était réel. Les voir sur scène, donner tout ce qu’ils ont, me remplit d’une joie immense.”
Il n’est donc pas étonnant de noter que la relation entre Versace et son prince va bien au-delà d’un simple partenariat commercial ; Hyunjin lui-même incarne l’énergie et la créativité que la maison de couture cherche à promouvoir. Donatella Versace n’hésite d’ailleurs pas à encenser son chouchou en déclarant :
“Hyunjin est un véritable homme Versace, avec sa confiance et sa liberté d’expression”.

Son impact sur la marque est indéniable, et cette synergie a ouvert la porte à d’autres membres du groupe.



Bang Chan, leader du collectif, a également fait ses débuts à la Fashion Week de Milan en juin, participant au défilé de Fendi. Sa présence a été remarquée et saluée, marquant une nouvelle étape dans l’influence croissante de Stray Kids dans le monde de la mode. Londres a, quant à elle, accueilli Lee Know, cette même année dans le cadre de l’événement Londra GUCCI.


Ces connexions montrent que les plus grands événements faisaient déjà des appels de phare à Stray Kids bien avant leur performance à l’I-Days et au BST Hyde Park Festival, dans une relation symbiotique, où l’art et la culture se rencontrent avec une volupté et un naturel exquis, et se nourrissent mutuellement.
Collaboration presse officielle
Presse & coordination : Demona Lauren
Photographie : Nicole Giraldo, Demona Lauren Press pour le BST / Alessia B., Demona Lauren Press pour la Fashion Week / Elysia Lua pour Demona Lauren Press pour l’événement Londra GUCCI
Remerciements spéciaux : l’équipe du BST Hyde Park Festival, Chiara, Marika et Stefania pour leur implication et leur sincérité à toute épreuve
