Merci de vous présenter
Salut! Je suis un multi-instrumentiste, producteur de musique et ingénieur de mixage né à Hong Kong, élevé à Pékin et basé à New York. Je suis actuellement un étudiant en herbe à l’Université Columbia, étudiant la musique et l’économie, ainsi qu’assistant de studio au Cutting Room Music Studio. Autant j’aime produire pour d’autres personnes, autant ma chanson “Spotlight” est mon premier single en tant qu’artiste. Mon genre musical peut être décrit comme de la pop alternative électronique, et mes plus grandes influences sont Brakence, Deb Never et Glass Animals.
3 mots pour décrire ta musique ?
Honnête Énergétique Texturé
Quel est ton processus pour produire une chanson ? tu commences par le beat, les paroles ou une idée ?
Lorsque j’écris une chanson, je commence généralement par une idée qui me trotte dans la tête et je ne sais pas comment m’en remettre autrement. Je prends alors une guitare ou un piano et commence à écrire des paroles et des mélodies. Quand j’ai assez d’idées sur la façon dont je veux que la chanson sonne, je saute sur Ableton et je commence à produire ! Je passe beaucoup de temps à inverser et à découper des échantillons, et j’aime donner à mes chansons une sensation d’espace, un peu comme si j’étais dans l’espace pour que rien sur terre ne compte.
Quelle daw utilises tu ?
Je produis sur Ableton et mixe sur Logic Pro X. Si j’enregistre en studio, j’utilise Pro Tools.
3 de tes plugins préférés ?
Je ne peux pas vivre sans Melodyne, Valhalla Vintage Verb rend tout meilleur et Sausage Fattener de Dada Life illumine toujours ma journée.
Peux-tu nous raconter l’histoire de « Spotlight » ?
J’ai écrit “Spotlight” l’été dernier quand j’étais en quarantaine avec mon frère à New York. Je produisais pour d’autres personnes depuis un certain temps et je me sentais presque gêné de vouloir écrire des chansons qui m’appartenaient. Spotlight est à ce sujet. Il s’agit de mon sentiment de vouloir m’exprimer à travers la musique et de parler des choses que j’ai du mal à transmettre dans la vie quotidienne.
Quelle est la plus grosse difficulté pour travailler sur son propre projet ?
La plus grande difficulté pour travailler sur mon propre projet est d’essayer de trouver une chanson qui soit uniquement la mienne. Je ne veux pas ressembler à d’autres artistes. Je veux que KAIYI soit un son de genre dont personne n’a jamais entendu parler auparavant.
Qu’est-ce que la pandémie de corona a changé dans ta vie d’artiste, ton processus, tes projets ?
Être isolé pendant la pandémie m’a donné l’occasion de goûter à des articles ménagers banals et de créer des couvertures hebdomadaires afin d’améliorer ma production et mon mélange. Cela m’a fait réaliser que je comptais sur la musique pour rester sain d’esprit. J’ai découvert que j’avais la liberté et le pouvoir de créer moi-même ce que je voulais.
Travailles tu sur l’EP ou l’album ?
Je prévois de sortir des singles pour le reste de 2021, mais un EP va certainement sortir dans l’année prochaine !
Quel est ton plat préféré quand tu fais de la musique ?
Incontestablement les céréales Special K, qui sont mon plat préféré, que je fasse de la musique ou non.
Quelque chose que tu n’as jamais dit à personne ? 😉
Hmm.
Tes projets pour 2021 ?
En tant qu’artiste, je prévois de sortir quelques autres singles d’ici la fin de 2021. En tant que producteur et ingénieur du mix, je suis ravi de travailler avec des artistes comme Eva Westphal, V!CTORIA etc. sur leurs EPs. Je suis toujours à la recherche de plus d’artistes avec qui travailler afin que je puisse devenir producteur et ingénieur de mixage à temps plein d’ici la fin de mes études, donc le reste de 2021 sera également beaucoup de travail pour atteindre cet objectif !Pour la suivre sur les réseaux:
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